Vendredi 11 avril 5 11 /04 /Avr 11:34

Merci de nous offrir votre réflexion, et  à bientôt…Eléna

Par Elena la soumise - Publié dans : Vos écrit sur Qu’est-ce qu’écrire ?
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Retour à l'accueil

Commentaires

Difficile de donner mon avis lorsque je lis ton blog. Ta plume est tellement géniale que cela soit lors de tes comptes-rendus de ta soumission à cette analyse aussi complète que géniale. Si jeune, et avec tellement de talent ! Que dire si ce n’est : BRAVO et MERCI !!!
commentaire n° :1 posté par : Emmanuelle le: 15/04/2008 à 10h26
Bonjour Elena, Je suis en train de rédiger ma petite réflexion sur le sujet. Je pense terminer avant la semaine prochaine. Je relève le défis avec plaisir. Curieux de découvrir celle de notre talentueux Vénétian afin qu’il nous fasse découvrir l’un de ces textes avec ces « variantes et constantes ». Lui qui à cette connaissance livresque que nous n’avons pas, va pouvoir nous l'enseigner! Progresser est toujours agréable! (Je me gausse !!!) Bien à toi, Jean-Paul Galibert. P.S Ne me dite pas qu'il est trop pleutre, j'en serais tout triste!
commentaire n° :2 posté par : Jean-Paul Galibert le: 15/04/2008 à 10h41
Voilà Elena, mon petit texte, sur écrire. Sait-on ce que c’est qu’écrire ? Une ancienne et très vague mais jalouse pratique, dont gît le sens au mystère du cœur. Qui l’accomplit, intégralement, se retranche. Autant, par ouï-dire, que rien existe et soi spécialement, au reflet de la divinité éparse, c’est, ce jeu insensé d’écrire, s’arroger, en vertu d’un doute. La goutte d’encre apparenté à la nuit sublime ; quelque devoir de tout recréer, avec de réminiscences, pour avérer qu’on est bien là ou l’on doit être (parce que, permettez moi d’exprimer cette appréhension, demeure une incertitude). Un à un, chacun de nos orgueils, les susciter, dans leur antériorité et voir. Autrement, si ce n’était cela, une sommation au monde qu’il égale sa hantise à de riches postulats chiffrés, en tant que sa loi, sur le papier blême de tant d’audace ; je crois ; vraiment, qu’il y aurait duperie à presque le suicide. Lorsque je dis duperie, suicide mon engagement littéraire est d’une gravité absolue. Je crois que le monde sera sauvé par une meilleure littérature et cela ne peut ne pas être une boutade. Le suicide nous y renonçons en raison justement de la duperie qui s’y montre : le véritable suicide ne saurait être que littérature. Il implique le sacrifice de celui qui écrit, un sacrifice « relativement à la personnalité » unique en son genre. En effet, il n’y a pas de sujet en soi (on ne peut donc pas le supprimer en se tuant) puisque le sujet est la conséquence de son langage. Il faut donc pousser ce langage jusqu’à ses limites pour savoir de quoi il s’agit, de qui il est question en nous. Entreprise des plus difficiles, étant donné l’étendue d’inconscience que nous découvrons aussitôt comme formant notre sol. Jean-Paul Galibert
commentaire n° :3 posté par : Jean-Paul Galibert le: 21/04/2008 à 09h25

Bienvenue chez moi

Merci de recommander mon blog

overblog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus